Audition Tour, l’étape

18.09.2014 – www.sudouest.fr
Vendredi dernier, la salle du conseil accueillait une réunion peu ordinaire, à laquelle étaient conviés les professionnels de santé et la municipalité. Premier contact avant les prochaines conférences de presse qui lèveront le voile sur l’événement Audition Tour 2014. Cette manifestation concernera, entre autres, tout le village d’Espelette, qui sera pilote, en octobre prochain.
C’est une belle initiative qui a été imaginée par l’association Agir pour l’audition, fondée par le professeur Bruno Frachet, en collaboration avec l’orthophoniste Geneviève Monguillot. « L’association Agir pour l’audition est strictement indépendante des industriels et distributeurs de prothèses. Elle est financée par la fondation Bettencourt Schueller et a pour objectifs de sensibiliser les populations à l’audition, d’où cette initiative qui se déroulera du 15 au 19 octobre sur Espelette, où l’on prévoit de tester toute la population », note le Dr Pierre Anhoury, directeur général de l’association et résidant à Espelette.
Agir pour l’audition mettra à la disposition des populations un camion modulable qui, une fois ouvert, offrira 100 m2 dédiés au dépistage des troubles de l’audition. La mairie, consciente de cette chance qui est offerte aux administrés, soutiendra l’opération en diffusant prochainement un formulaire en vue d’informer de cette campagne et un questionnaire personnel afin que chacun puisse estimer son audition. « Nous ne ferons pas d’acte médical au sein du camion. Les tests que nous proposerons sont prouvés scientifiquement et permettront de mettre en lumière s’il y a présence de troubles. Le but est de sensibiliser à la presbyacousie, mais il s’agit aussi de cibler la protection du capital auditif des jeunes qui n’ont pas la notion d’irréversibilité des troubles », précise Geneviève Monguillot.
L’importance du dépistage
Pour le professeur Dartigues, neurologue à Bordeaux, « le vieillissement est quelque chose de multifactoriel. Dans notre étude menée pendant vingt-cinq ans dans 75 communes françaises, nous avons pu constater que les personnes qui ont des troubles cognitifs déclinent plus vite, ceci pouvant entraîner un isolement des personnes. Par contre, celles qui ont été appareillées, avec le dépistage le plus précoce possible, conservent les mêmes capacités. »
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Dépister le CMV dès la naissance ?

17.09.201 – www.edp-biologie.fr
Une étude britannique a testé la faisabilité du dépistage néonatal des infections congénitales à cytomégalovirus en cas de dépistage auditif anormal. Elle suggère que l’examen est simple à mettre en place et efficace.
Explications
Les infections congénitales à cytomégalovirus (CMV) sont la première cause non génétique de surdité néonatale. En France, leur prévalence serait de 8 % dans les surdités bilatérales de l’enfant de moins de trois ans, cette proportion atteignant même 15,4 % en cas de surdité bilatérale profonde. On sait également que l’infection est 9 fois sur 10 asymptomatique à la naissance, alors que la proportion d’enfants qui développeront plus tard une atteinte auditive est évaluée, selon les études, de 6 à 23 %. Dans ce contexte, une équipe de pédiatres britanniques a évalué la faisabilité et l’acceptabilité d’un dépistage systématique de l’infection à CMV chez tous les enfants adressés pour contrôle après un dépistage auditif néonatal anormal.
Un examen simple, efficace…
L’étude a été menée dans des centres anglais de Londres et du Nord-Est du pays. Tous les enfants ayant eu des réponses anormales au dépistage systématique ont été inclus. Le protocole prévoyait que des prélèvements salivaires et urinaires pour recherche du CMV par PCR soient réalisés avant trois semaines de vie, avec un examen clinique dans le premier mois en cas de positivité. Supposant que ces investigations pouvaient être source d’inquiétude pour les parents, les chercheurs ont systématiquement évalué le score d’anxiété maternelle lors du recrutement et à trois mois. Ils se sont pour cela basés sur les réponses des mères au questionnaire d’anxiété de Spielberger simplifié.
Des examens biologiques contributifs ont été obtenus chez 98 % des enfants recrutés (404 sur 411). Six cas d’infection congénitale à CMV ont ainsi été identifiés, tous par PCR sur échantillon salivaire. Dans cette étude, la prévalence de l’infection à CMV chez les enfants ayant un dépistage auditif néonatal anormal était donc de 1,5 % (IC95 % : 0,6-3,2 %).
En termes de faisabilité du dépistage, ce travail montre la difficulté d’obtenir des échantillons urinaires dans un contexte de dépistage systématique : il n’avaient été recueillis que dans 50 % des cas, contre 99 % pour les écouvillons salivaires. En revanche, les prélèvements salivaires semblent être une méthode simple et efficace puisque dans tous les cas de dépistage positif, le résultat a été disponible dans le délai prévu par le protocole.
… et peu anxiogène pour les mères
L’acceptabilité de ce dépistage par les mères a été jugée bonne, la méthode n’augmentant pas le score d’anxiété. Au final, 89 % des mères interrogées se sont dites heureuses que leur enfant ait été dépisté pour le CMV et elles sont 97 % à juger qu’une généralisation à l’ensemble des enfants identifiés par le dépistage néonatal de la surdité serait une « une bonne idée ».
L’avis des investigateurs de l’étude va dans le même sens, puisqu’ils concluent qu’il est faisable et acceptable d’inclure le dépistage salivaire de l’infection congénitale à CMV dans les protocoles de dépistage néonatal systématique de la surdité.
Mais quelle devra être la prise en charge des enfants ainsi identifiés ? L’administration précoce d’antiviraux, type ganciclovir ou valganciclovir, serait envisageable, bien que le rapport bénéfice/risque de ces molécules dans un tel contexte ne soit pas clairement établi. Des équipes, notamment en France à l’hôpital Necker- Enfants malades, travaillent sur le sujet. Une affaire à suivre donc, du moins tant que les difficultés de la mise au point d’un vaccin anti-CMV efficace n’ont pas été surmontées.
Source : www.edp-biologie.fr
Alain Afflelou se positionne en faveur des assistants d’écoute

11.09.2014 – www.edp-audio.fr
Le 10 septembre 2014, lors d’une conférence de presse, Alain Afflelou a annoncé l’ouverture du 100e centre Alain Afflelou Acousticien, à Figeac. À cette occasion, il a dévoilé le lancement d’une campagne publicitaire qui sera diffusée à la télévision à partir du 21 septembre. L’homme d’affaires en a aussi profité pour donner son avis sur les sujets brûlants du monde de l’audioprothèse, comme le nombre de diplômés – qu’il considère insuffisant pour répondre à la demande – ou le récent arrêté autorisant la vente d’assistant d’écoute dans les pharmacies.
Sur ce dernier sujet, il s’est positionné en faveur de cette légalisation. Selon lui, empêcher les ventes d’assistants d’écoute, c’est « aller contre le vent », martèle-t-il. « Je pense que cela va jouer un rôle très important pour la presbyacousie en France. » Il avoue d’ailleurs être en réflexion quant à la possibilité de vendre ces appareils dans ses centres. Il compare les assistants d’écoute avec les lunettes loupe – qui subissaient les mêmes critiques – et qu’il a démocratisées dans les années 1990, avec ses Forty. « À l’époque, les pharmaciens vendaient des lunettes de lecture alors que l’activité des opticiens diminuait. On a donc décidé de commercialiser ces lunettes dans nos boutiques et c’est ainsi que j’ai créé la Forty. On en a vendu des millions ! Concernant les assistants d’écoute, les chiffres montrent que nous n’équipons pas les personnes souffrant de perte d’audition légère.Autant que ces personnes viennent dans nos centres se faire conseiller par un audioprothésiste plutôt qu’ils aillent en pharmacie où ils seront à peine conseillés. »
En outre, la position d’Alain Afflelou est stratégique : « Les assistants d’écoute vont mettre la puce à l’oreille pour les personnes qui vont en faire l’acquisition et ainsi se rendre compte qu’elles sont malentendantes. Elles vont découvrir que c’est mieux de bien entendre. » Pour Alain Afflelou, c’est une façon de mettre la main sur cette clientèle le plus tôt possible. « Je parie que dans 2 à 3 ans, ces appareils seront en vente partout ! »
Affelou veut plus d’audioprothésistes
Alain Afflelou est également revenu sur le manque d’audioprothésistes ressenti par un pan de la profession : « On a du mal à trouver des audioprothésistes », assène-t-il. Mais selon lui, « si les projets de l’ancien ministre Arnaud Montebourg aboutissent, les verrous vont sauter » et davantage d’audioprothésistes diplômés sortiront chaque année des écoles.
Deux spots publicitaires
La conférence de presse a aussi été l’occasion pour la marque de réaffirmer sa position au sein du monde de l’audioprothèse. Dans ce sens, deux spots publicitaires ont été préparés et leur diffusion à la télévision est prévue dès le 21 septembre. Le premier spot a pour objectif de sensibiliser le public sur le problème de la presbyacousie. Le second est axé sur le commercial.
Enfin, pour fêter l’ouverture du 100e centre Alain Afflelou Acousticien, l’homme d’affaires organise une convention à Paris, avec tous ses audioprothésistes, qui sera suivie de festivités.
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Pour bien entendre, mangez du poisson

11.09.2014 – www.topsante.com
Vous pouvez ajouter la perte d’audition à la longue liste des troubles que l’on peut prévenir en mangeant du poisson. Les omega-3 du poisson limitent les risques de presbyacousie..
On savait déjà que manger du poisson permet de prévenir la maladie d’Alzheimer et que le poisson est préférable à la viande si l’on veut éviter certaines formes de cancers. Voilà qu’une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of clinical nutrition nous incite à nouveau à mettre du poisson à nos menus si l’on veut continuer à bien entendre.
Selon cette étude, dirigée par le Dr Sharon Curhan, de l’Ecole de médecine de Harvard, il y aurait un lien entre la consommation de deux ou plusieurs portions de poisson par semaine et une diminution du risque de perte d’audition.
Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plus de 65 000 femmes inscrites dans l’étude Nurse’s Health Study.
Pendant vingt ans, ces femmes ont répondu à diverses questions portant notamment sur leur audition et sur leur régime alimentaire. Les femmes quoi déclaraient manger du poisson comme le saumon, le thon en conserve, ou du flétan, au moins deux fois par semaine étaient parmi celles qui souffraient le moins de presbyacousie, une perte d’audition liée à l’âge.
Selon le Dr Sharon Curhan , c’est sans doute parce que la consommation d’aliments à longue chaîne Omega-3 comme les poissons gras, pourrait contribuer à une meilleure circulation sanguine dans l’oreille. « La circulation du sang dans l’oreille interne doit être très bien réglée pour répondre à ses besoins énergétiques importants » explique le médecin dans le magazine Time. Toutefois, l’étude ne portant que sur les femmes, on ne sait pas encore si cet avantage sur l’audition est le même chez les hommes.
Il est déjà bien établi qu’une alimentation riche en omega-3 est particulièrement bénéfique pour le cœur. Le maintien d’une bonne circulation sanguine semble être la clé qui permet de conserver un cœur et une ouïe en bonne santé.
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La Drees rend publique une étude quantitative sur le handicap auditif

09.09.2014 – Source : www.audition-infos.org
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) vient de rendre publique sur son site Internet une étude réalisée à partir de l’enquête « Handicap-Santé » et intitulée : « Étude quantitative sur le handicap auditif ».
Cette étude, réalisée par Laurence Haeusler, Thibaud De Laval et Charlotte Millot, présente les résultats détaillés sur la participation à la vie en société des personnes ayant des problèmes auditifs (vie familiale, vie professionnelle, loisirs, etc.), leurs difficultés dans la vie quotidienne et les aides dont ils bénéficient (aides humaines, techniques et financières).
En 2008, 10 millions de personnes rencontraient des problèmes d’audition, rapporte cette étude.
La moitié avaient des difficultés d’écoute qualifiées de « moyennes à totales », limitant leur capacité à suivre une conversation. Une partie d’entre elles cumulaient de surcroît ces problèmes d’audition à d’autres limitations (motrices, intellectuelles, psychiques, cognitives ou visuelles).
10,7% DES PERSONNES AYANT DES LFA LEGERES SONT EQUIPEES
L’étude s’intéresse, entre autres, au taux d’équipement des malentendants. On y découvre notamment que en 2008, « 20 % des personnes ayant des limitations fonctionnelles auditives moyennes à totales seraient équipées d’un appareil, soient entre 1 000 000 et 1 200 000 personnes, toujours en 2008. Le fait que les personnes n’ayant qu’une limitation fonctionnelle auditive légère ne soient jamais équipées est une conséquence du mode de construction de l’échelle de gravité, dans laquelle le fait de porter un appareil auditif entraînait presque toujours un niveau de LFA moyen au minimum. Si l’on prenait en considération les personnes ayant des LFA légères, le taux d’équipement serait de 10,7 %. Par ailleurs, 2 030 000 personnes ne portent pas d’appareil, mais en auraient besoin, soit 37 % des personnes ayant des limitations fonctionnelles auditives moyennes à totales. »
Cette étude nous montre que « 90 % des personnes ayant des limitations fonctionnelles auditives moyennes à totales déclarent au moins une déficience autre qu’auditive (contre 63 % dans l’ensemble de la population). Une partie de ces déficiences est liée à l’âge de cette population. Si l’on standardise le taux global de déficiences associées par âge et sexe, il se rapproche sensiblement de la moyenne, passant de 90 % à 77 %. Les déficiences motrices concernent la moitié des personnes souffrant de LFA moyennes à totales. Ces déficiences sont principalement constituées par deux problèmes courants, dont la gravité peut être très variable, les gênes articulaires et la limitation de force musculaire. »
Les auteurs précisent que « si l’on exclut les déficiences visuelles de type « difficulté pour voir de près ou de loin, mais ni aveugle ni malvoyant »,qui concernent plus d’une personne sur deux, 68 % des personnes ayant des limitations fonctionnelles auditives moyennes à totales déclarent une déficience non auditive, soit deux fois plus que l’ensemble de la population (37 %).
Lire l’article complet sur le site de www.audition-infos.org
Référence de l’étude : Laurence Haeusler, Thibaud De Laval, Charlotte Millot, 2014, « Étude quantitative sur le handicap auditif à partir de l’enquête « Handicap-Santé » », Document de travail, Série Études et recherche, n°131, Drees, Août 2014.
A 7 semaines, un bébé est ravi d’entendre pour la première fois
04.09.2014 – www.lexpress.fr
Une vidéo mise en ligne dimanche montre un petit garçon australien entendre pour la première fois la voix de ses parents. Emouvant.
La science peut faire des merveilles pour les sourds et malentendants. Cette fois, c’est le petit Lachlan, un garçon australien de 7 semaines, qui en a profité. Dans une vidéo filmée en juillet 2012 et mise en ligne dimanche sur YouTube, l’enfant découvre les sons et les voix grâce à un appareil auditif.

Un bébé de 7 semaines est ravi d’entendre pour la première fois
Les parents expliquent avoir « pleuré de bonheur », rapporte FranceTVInfo, alors que le petit, lui, est tout sourire. Aujourd’hui, Lachlan est un « moulin à paroles » d’après sa mère et aime écouter de la musique.
Voir d’autres vidéos d’enfants et adultes implantés cochléaires sur le site de www.lexpress.fr
Les Maisons de l’autonomie vont-elles manger les MDPH ?
09.09.2014 – www.informations-handicap.fr
Mardi 9 septembre 2014. Les députés planchent sur le projet de loi « Adaptation de la société au vieillissement ». Vieillissement, perte d’autonomie, handicap… Il n’y a qu’un pas que certains ont peur de voir franchir. C’est notamment le cas de l’APF (Association des paralysés de France) qui, en marge de ce débat, s’exprime sur les craintes de voir évoluer les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) en Maison de l’autonomie (MDA) avec des charges amplifiées malgré des moyens constants. Avant que l’hémycyle ne rende son verdict, l’association tient à rappeler que ce texte, qui concerne les personnes âgées, impacte directement les personnes en situation de handicap et leur famille. Et de redire qu’une « amélioration du fonctionnement et des moyens actuels des MDPH est indispensable » avant d’entreprendre une telle métamorphose.
Comment survivre sans moyens supplémentaires ?
Depuis la loi handicap de 2005, les attentes des personnes en situation de handicap et de leur famille sont considérables vis-à-vis des dispositifs d’accès aux droits que sont les (MDPH). Cependant, l’APF déplore « que ce projet de loi ne prévoie aucun moyen supplémentaire et qu’au contraire, il ouvre les groupements d’intérêts publics (GIP) MDPH aux personnes âgées ! ». Et de se demander « Comment les MDPH, déjà en grande difficulté, pourront-elles absorber de nouvelles missions sans moyen supplémentaire ? ».
MDPH : des constats alarmants
Comme le rapport de Denis Piveteau, conseiller d’État, vient de le rappeler, les MDPH sont le pivot fondamental dans le parcours de vie des personnes en situation de handicap et de leur famille. Or, les constats sont aujourd’hui alarmants. Le nombre de demandeurs en 2013 et 2014 explose. Les délais d’instruction des demandes sont très longs (jusqu’à 18 mois d’attente). Les plans de réponses sont inadaptés et ne correspondent pas aux besoins des personnes occasionnant de très lourds restes à charge. 80% des évaluations de situation se font sans que la personne soit vue ni entendue par les équipes de la MDPH…
Des droits au rabais ?
Selon l’APF, « alors que le dispositif actuel présente déjà de nombreux dysfonctionnements, les parlementaires vont étudier la mise en place des Maisons de l’autonomie (MDA) qui ont pour objectif d’accueillir les personnes en situation de handicap et leur famille mais également un public supplémentaire conséquent, les personnes âgées dépendantes. » Comment ces dispositifs vont-ils pouvoir répondre aux besoins de tous ? L’association s’interroge : « S’oriente-t-on vers un système qui sacrifie les uns pour mettre en place des dispositifs pour les autres ? Au risque de proposer des dispositifs d’accès aux droits au rabais ? »
Une barrière d’âge qui fait polémique
Ne faudrait-il pas en priorité mettre en place de moyens supplémentaires et cohérents qui garantissent un égal accès aux droits pour tous, quel que soit leur âge, dans l’esprit et la lettre de la loi handicap de 2005 ? Ainsi, l’association, comme bien d’autres, revendique l’abaissement des barrières d’âges (les fameux 60 ans qui font qu’avant on est « handicapé » et après « âgé », avec des droits différents) afin que tous puissent avoir accès à un véritable droit à compensation pour tous. Elle espère que ce projet de loi se contentera de donner un cadre aux MDA déjà existantes (qui, elle le rappelle, ont été mises en place sans concertation ni réglementation) et non pas pour favoriser de nouvelles créations dans le contexte actuel.
Lire l’article sur le site de www.informations.handicap.fr
Comment un volume trop fort endommage votre audition et attaque vos nerfs ?
02.09.2014 – http://www.maxisciences.com
Malmener ses oreilles augmente les risques de pertes précoces d’audition, mais les rouages du phénomène sont longtemps restés mystérieux. Une étude anglaise vient d’apporter la lumière sur les acouphènes et autres problèmes, ouvrant la voie à de futurs traitements.